L'étreinte de Tiftif et d'Alan

Bon, comme ça risque d'être un long récit, il vaut mieux que je mette l'étreinte ici. Je vais donc coller ça au fur et à mesure dans ce sujet. Vous pouvez réagir, bien entendu. Influencer les gestes d'Alan ou de Tiftif, par exemple, mais, attention, je suis le narrateur, donc ne faites pas le récit à ma place

L'étreinte

La porte à peine refermée, leur bouches se mangeaient déjà. "Trop vite, trop fort" pensait Alan, "Bon Dieu, tu n'en es qu'au début et tu es déjà prêt à lâcher la purée". Alan était grand et Tiftif était petite. L'embrassade lui cassait le dos. Il se redressa et lui caressa gentiment la joue. "Doucement, mon amour, ne brûlons pas cet instant comme un feu de paille". Il l'attira contre lui, en la serrant très fort, comme on maîtrise un enfant qui ne peut contrôler sa colère. Leur différence de taille était amusante, presque grotesque. Il sentait sa poitrine lui chatouiller le nombril.

"Il est énorme ce type" pensait Tiftif. "S'il continue à me serrer comme ça, il va me casser en deux, mais je suis bien là. J'entend son cœur battre très fort. Il va exploser à ce rythme-là. Il ne manquerait plus que ce vieux pète une durite, et que je me retrouve avec un cadavre dans cette chambre d'hôtel. Ménages-le un peu, Tiftif, si tu veux arriver à tes fins".

Après un moment, Alan relâcha son étreinte. Il prit Tiftif par la main, et ils se dirigèrent vers le lit. Elle lui fit face, et ses petites mains parcouraient son torse, comme si elle voulait évaluer sa musculature et lui compter les côtes. Très rapidement, Tiftif, plongea les bras sous son pull-over. Elle voulait toucher sa peau. Ses doigts déboutonnèrent sa chemise. Elle glissa une main dessous, puis l'autre. "Il a du poil, le bougre" se dit-elle. Pas trop, juste ce qu'il faut. J'avais peur d'avoir à faire à un ours, mais là, ça va".

"Putain que j'ai chaud" soufflait Alan. Alan n'aimait pas la mode. Il méprisait cette façon qu'avaient ses contemporains de s'habiller avec les idées d'un autre. Été comme hiver, il était docksides, jeans, pull et chemise, mais ce soir, ses habits semblaient vouloir l'étouffer. D'un geste rapide et automatique, il ôta son pull qu'il jeta n'importe où sans s'en soucier. La lumière d'un néon clignotait à travers les stores de la fenêtre et flashait sur le visage de Tiftif. Ses yeux semblaient lancer des éclairs de concupiscence rouges et bleus. "Woaw, elle est allumée, celle-là. Elle veut me dévorer ou quoi?" pensa-t-il en souriant.

Après les mains, Tiftif avait mis la bouche et s'appliquait à lui faire des mèches sur la poitrine. Un petit coup de langue par ici, un petit pincement de lèvres par là, elle était en train de transformer Alan en hérisson. Elle avait senti qu'il s'était raidi quand elle avait glissé les mains dans son pantalon pour lui palper les fesses. Elle en riait en elle même. Elle avait pris le dessus, et elle le savait. Lui semblait perdu et gigotait s'en trouver la réaction appropriée.

"Mais tu es un petit diable, mon amour" lui dit-il. "Tu crois que je vais me laisser faire sans réagir? Attend, tu vas voir". Alan l'empoigna par la taille et la jeta sur le lit. Tiftif poussa un petit cri de surprise. Il se coucha sur elle, et lui tenant les mains au dessus de la tête, il entreprit de l'embrasser partout où il pouvait. Il commença par lui faire un suçon dans le coup, puis lui mordilla le lobe de l'oreille, glissa vers sa bouche et y introduisit sa langue. Titif luttait de toute ses forces et sa langue entama un combat avec celle d'Alan.

Enfin, elle s'abandonna, et il descendit vers ses épaules, sa poitrine. Il la caressa avec son front, ses joues, ses cheveux. Il sentait ses tétons se durcir à travers le tissu de son chemisier. Il prit un revers entre ses dents et tira de toutes ses forces, arrachant les boutons et une partie du tissu. "Mouarf, tu es fou" dit-elle. "Comment je vais ressortir d'ici, maintenant ?". "On s'en fiche", lui répondit Alan. "Je te passerai mon pull. Ca te fera une jolie roble très ample", rigola-t-il. Tittif lui empoigna la tête entre ses mains et l'enfonca entre ses seins, en disant "tu n'es qu'un salopard, alors sois un salopard".

c'est chaud d'chez chaud de chez chaud d'chez chaud!

Tiftif avait la peau douce, un peu moite, mais ça c'était à cause des circonstances. Au goût, elle était un peu salée, et elle dégageait une odeur un peu vinaigrée qui n'était pas désagréable, et qui mêlée à son parfum fruité, lui rappelait les senteurs des vergers de son enfance. Tittif était apaisée maintenant ou feignait de l'être. Elle soupirait doucement, semblant s'abandonner totalement aux caresses de son amant. Alan savait que Tiftif était une de ces femmes qui savent combattre, parce que d'abord elle était femme, et que les femmes apprennent très tôt à opposer la ruse à la force qui est imbécile, par définition. Entre eux, la tendre guerre avait commencé.

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Petit entracte pour vous laisser réagir et intervenir dans la suite de ce récit.

Que va-t-il se passer ? Que doit faire Titif ?

tiftif a écrit:

c'est chaud d'chez chaud de chez chaud d'chez chaud!

Quoi, trop chaud ? C'est amusant, j'espère.

J'essaye de ne pas tomber dans le vulgaire. On fait l'amour, on ne nique pas.

Je dois m'arrêter-là ?

Citation :

Je dois m'arrêter-là ?

Ah bah non alors! Je vais rester sur ma faim sinon!
Et ne t'inquiète pas, jusque là, j'ai bien rigolé! Enfin, c'est un peu plus qu'une déclaration, quand-même. Je ne m'attendais pas à autant d'imagination. Tu débordes, Alan!

Alors dis-moi comment Tiftif va rétablir la situation? Je te rappelle qu'Alan est couché sur elle et qu'il fait un certain poids. Comment Tiftif va-t-elle reprendre le dessus?

Mais je ne sais pas, mon ami! je ne sais pas! C'est toi le scénariste! Moi je suis actrice.

J’ai déplacé ce Topic dans la section adulte, vous pouvez désormais faire toutes les saloperie imaginable, c’est à l’abri du jeune public

Alan, je t’ai rajouté dans le groupe adulte pour que tu ai accès à cette parti du forum

tiftif a écrit:

Mais je ne sais pas, mon ami! je ne sais pas! C'est toi le scénariste! Moi je suis actrice.

Je peux filmer?

*donne en cadeau de noel a Antho un super camescope derniere génération *

Bon film

tiftif a écrit:

Mais je ne sais pas, mon ami! je ne sais pas! C'est toi le scénariste! Moi je suis actrice.

Producteur, scénariste, acteur, je porte tous les chapeaux ... et merde, j'ai oublié les préservatifs (ça me fait un chapeau en moins)

Et quoi, vous autres ? Ne me dites pas que vous êtes tous vierge

Butcher a écrit:

J’ai déplacé ce Topic dans la section adulte, vous pouvez désormais faire toutes les saloperie imaginable

Tiftif, tu ne m'avais pas dis que c'était un hôtel de passe. Ca explique les néons.

Butcher a écrit:

c’est à l’abri du jeune public

Je vois ça. Nouménie, retourne jouer avec Barbie, et arrête de déshabiller Ken. Mais non, je n'ai pas dis que tous les jeunes étaient des petits branleurs

Butcher a écrit:

Alan, je t’ai rajouté dans le groupe adulte pour que tu ai accès à cette parti du forum

Dire que je ne suis jamais allé sur un site porno, et que je me retrouve acteur dans une série X à l'insu de mon plein gré. J'espère que je saurais garder ma concentration, sinon ma séance de lévitation corporellement partielle risque de s'achever en séance de jardinage, et j'irai ensemencé les choux.

Antho a écrit:

tiftif a écrit:

Mais je ne sais pas, mon ami! je ne sais pas! C'est toi le scénariste! Moi je suis actrice.

Je peux filmer?

Antho, voilà un amoureux de la technique. Il suffit de voir son habilité à sucer le micro

N'oublie pas que tu es un professionnel. Installe le pied de ta caméra ... au lieu de le prendre

Bon, où en étions-nous ?

Silence sur le plateau !! On tourne ...

Les acteurs enlèvent leur peignoirs ...

Les choses s'éternisaient pour Tiftif. Elle aimait bien être traitée avec douceur, mais Alan était un peu trop doux à son gré. Tiftif était déjà chauffée à blanc, et Alan qui l'a couvrait de tout son long ne faisait rien pour faire descendre la température. Elle décida de passer à l'action. Telle une chatte, elle planta ses griffes dans le haut du dos d'Alan et tira vers le bas ... La réaction fut immédiate.

"AAAaaah, t'es malade ou quoi ?", hurla Alan. Il se leva, et hormis la grosse bosse dans son pantalon, elle vit, quand il se retourna, le résultat de son action sous la forme de deux séries de zébrures qui s'enrougeoyaient à vue d'œil. Alan tentait de regarder son dos, mais sa souplesse n'était pas suffisante pour ce genre d'exploit. Il se dirigea vers la salle de bains d'un pas pressé. Tiftif était tout de même emmerdée. "Si après ça, il me plante-là, je l'aurai bien cherchée" se dit-elle. "Il faut que je répare les dégâts". Elle le rejoignit dans la salle de bains où Alan contemplait son œuvre d'un regard incrédule.

"Je te préviens Tiftif, si c'est ta façon de "tirer" un bon coup, tu ne tireras rien d'autre sans que je te coupe les ongles, que je te lime les dents, et que je t'attache très serrée". Tiftif était morte de rire, et Alan ne semblait pas vraiment prêt à partager son hilarité. "Tu ne te rends pas compte. Putain, ça brûle. Après un coup pareil, je suis défiguré du dos à vie. Je suis privé de piscine pour au moins 2 mois". Tiftif, devant son air malheureux, vient vers lui et lui fit un petit baiser sur l'épaule. "Allons, allons, ne fais pas ton fragile. Maman Tiftif va t'arranger ça en un tour de main". Alan se méfiait un peu. "Garde tes mains grandes ouvertes, sinon je te fais une épilation maillot avec les dents", gronda-t-il avec un sourire méchant. Tiftif, lui répondis en riant "trop tard, je suis une fan de George Clooney, et je suis les conseil du maître : "No Gilette, no minette". Tu ne crois tout de même pas que je renoncerais à ça ?".

À l'évocation de l'image qu'Alan se faisait de la chose rasée qui le narguait sous le jeans moulé qu'elle collait contre sa cuisse, il en oubliait la douleur. Son esprit n'était plus qu'un kadélioscope de visions qui aurait fais rougir la plus occupée et la plus professionnelle des prostituées. "Hmmmm, attends que je m'occupe de toi, tu oublieras vite ton petit acteur à la tête penchée (pour le lecteur qui n'aurait jamais vu George Clooney, il joue toujours avec la tête de travers)". "Faut voir, faut voir", lui susurra Tiftif en l'attirant dans la douche.

Alan se laissa entraîner avec un stupide sourire béat sur la figure. Tiftif ouvrit le mitigeur, et bientôt une eau chaude à souhait ruissela sur eux. Elle mit ses mains dans ses cheveux pour les rejeter en arrière. Ce faisant, elle levait les bras et ce geste mettait en valeur le galbe parfait de sa poitrine. Alan l'admirait à travers le flou artistique que provoquait l'eau qui se répandait dans ses yeux. "Mon Dieu qu'elle est belle". Lentement Tiftif, frottait son corps sous la douche. Elle se retourna comme pour préserver une pudeur qui n'avait plus vraiment lieu d'être. Alan s'était accroupi dans un coin et la regardait faire. Elle ouvrit son jeans et entreprit de le faire glisser. Il était trempé et lui collait à la peau. Elle faisait des mouvements de fessier désespérés pour s'en débarrasser. Alan se mit à l'aider, et bientôt elle pu s'en extraire, une jambe après l'autre en assurant son équilibre d'une main contre le mur carrelé.

Le visage d'Alan était à moins de dix centimètres de la courbe d'une fesse qu'il avait une envie folle d'embrasser. Il ne s'en retint pas. L'eau qui tombait en grosses gouttes sur son dos, réveillait un peu sa blessure, mais la sensation de douleur légère associée à l'ivresse que lui donnait son repas particulier n'avait plus rien de désagréable, que du contraire. Les paumes de ses mains courraient sur les jambes de Tiftif. Ses mollets, ses genoux, ses cuisses, ... et ses fesses bien évidemment. Elle, elle était cambrée, la poitrine écrasée contre la faïence. Elle savourait l'instant. Tiftif n'était pas maigrichonne, et son corps avait des rondeurs émouvantes tout en restant fermes.

Bande de cochons va!!

D'une main, il lui écarta les jambes, de l'autre il remonta lentement entre celles-ci. Tiftif était au bord de la rupture, son esprit chavirait. "Oui, plus vite ! Non, plus lentement. Ce type me rend folle". Son ventre se crispait et ses cuisses tremblaient. "Oh, Alan, tu me tues" se dit-elle. À deux doigts de la "toucher", ses doigts redescendaient. "Oh, le salaud" pensa-t-elle. Elle se retourna et lui plaqua le visage sur son pubis. Alan lui caressa les lèvres avec l'arrête de son nez. Il les sépara en poussant un peu ... Il sentait ce petit bouton de chair, ce tendre renflement.

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Je me demande si je vais continuer. Cela devient difficile de suggérer, de faire monter la tension sans tomber dans la fornication littéraire. Qu'en pensez-vous? Dois-je continuer?

Heu... oui, ça devient compliqué. Mais où est passée la caméra d'Antho??
Je ne la voit pas! Normalement, elle aurait dû être collée à mes fesses!?
Soulfly!! Soulflyyyyyy!!!!! Raccord maquillage! J'ai un bouton sur la fesse gauche, Antho peut pas filmer un truc pareil!

Soulflytribe a écrit:

Bande de cochons va!!

C'est pour la bonne cause. Il faut bien repeupler le monde, non ?

Je suis un martyr et je me sacrifie pour vous. D'ailleurs j'en porte les stigmates dans le dos. Dans 2000 ans, ce texte sera l'ouverture de la nouvelle Bible consacrée à la déesse Touffe-touffe Tiftif

tiftif a écrit:

Heu... oui, ça devient compliqué. Mais où est passée la caméra d'Antho??
Je ne la voit pas! Normalement, elle aurait dû être collée à mes fesses!?
Soulfly!! Soulflyyyyyy!!!!! Raccord maquillage! J'ai un bouton sur la fesse gauche, Antho peut pas filmer un truc pareil!

Uiiiiiiiiiiiiiiiii??