L'histoire dont vous êtes le héros

En clair, et en bref, vous ne pouvez écrire dans ce sujet qu'en tant que personnage intégré à l'histoire qui va y naitre. Pour les commentaires, veuillez les faire dans le deuxième sujet lié "L'histoire dont vous êtes le héros (2)".

Le thème de cette histoire sera la lutte des résistants de Bandaworld pour renverser l'horrible dictateur Alan Shore.

Soulflytribe etait au milieu du combat, tel l'Helvetie isolée au milieu de l'Union Européenne, il ne savait quoi faire, ni quoi dire? il voulait juste que les communautés survivent, oui Soulfly les aimait vraiment tous, et Zanky lui manquait terriblement...

Alan Shore était perché sur le balcon de sa résidence princière, et son regard portait au loin vers les hautes montagnes qui traçaient la frontière de son royaume. À ses pieds s'étendait la ville, grouillante d'activité et de bruit. Il en était le maitre incontesté à présent.

Derrière lui, un "pardonnez-moi, mon prince" se fit entendre. "Que veux-tu ?" lui fit Alan Shore en continuant de regarder devant lui.

"Il y a de la rébellion dans l'air, Maitre. Nouménie et une bande de gueux semblent vouloir en découdre avec votre pouvoir".

"Décidément, il faudra que je m'occupe de cette donzelle. Je lui ai laissé trop de liberté", pensa-t-il.

Cette satanée Donzelle se fiche du pseudo pouvoir de ce prince de pacotille quelle juge inadmissible et hors normes, il n'y a qu'a voir comme il se représente...
Elle préfère donc vivre tranquillement dans la petite vallée, avec des gens qui vivent de la même facon qu'elle, sans inégalités...
Après tout, si nous sommes un "peuple" (j'en ris) cela devrait être ainsi; pas de statut entre nous...

Le jeu n'en vaut pas la chandelle.

L'odieux Prince Alan avait sous les yeux un des tracts distribués par Nouménie. L'idée de base en était classique. Elle essayait de faire croire à chacun que la notion d'équité pouvait faire force de loi.

Alan savait que la seule raison de la force qui s'impose était la meilleure. La lâcheté naturelle des gens devant le danger leur imposait le calme tant que le dit danger ne s'adressait pas à eux directement.

Nouménie le savait bien entendu. Elle voulait leur faire croire qu'unis, ils étaient plus fort que le tyran. Alan savait comment répondre à ce genre de révolution. Il fallait taper à la tête directement. Il fit emprisonné la "coupable" pour 5 jours dans la plus sombre de ses geôles, puis il vaqua à ses occupations.

Cependant un ennemi encore plus implacable était caché dans l'ombre, et il l'ignorait. Butcher, l'infâme fomentait son complot dans l'ombre. On l'appelait Butcher à cause de sa propension à égorger lui-même ses ennemis.

Le Chevalier Berson fut envoyer pour faire taire Nouménie. Il parta dans la petite vallée isolé. Il y découvrit une forme d'utopie. Le sourire des gens lui fit du bien. Il ne comprenait pas pourquoi il vivait comme cela depuis des années alors que le bonheur était à quelques lieues. "Cela doit être l'éducation tyrannique du Prince" se dit-il. Il décida de rester en ces lieux si purs et de faire la cour à Nouménie, celle-ci étant rayonnante de beauté.

orgazmo pren son gun et shoot toutes ses tapettes

Les temps ce montre gris en ces jours d’insurrection, en effet la mutinerie n’avait fait qu’aggraver le moral du peuple béni, et Butcher, allias le compte Despotisme, ne pouvait accepter un tel blasphème venant des ces indignes rats qui souille cette jovialité maintenant disparue à Bandaworld.

Témoignant de sa colère et de con charisme naturel, le compte fit voler sa cape élégamment avant d’attraper fermement sa lame, digne représentation de son incommensurable pouvoir. Il n’eu fallu pas plus de trois soleils et trois lunes pour que le compte rejoigne le château du très grand Alan Shore. Nul besoin d’un bonjours, Butcher savait ce qui lui restait à faire, et c’est un sourire aux lèvres qu’il se dirigea sans un mot vers les geôles.

Alan Shore avait fait du très bon travail, mais c’était maintenant au compte Despotisme de le finir. Lentement, cyniquement, Butcher se dirigeait vers cette porte, laissant entendre à chaque pas, le lourd écho de la mort qui allait accomplir son œuvre. Nouménie était la, apeurée, tel un misérable enfant, celle qui avait engendré cette rébellion se trouvait maintenant là, soumise à la déchéance de sa triste vie, pleurant toutes les larmes de son triste regard. Mais pour le compte Despotisme, tout ceci n’était que pathétique, et il était maintenant l’heure d’achever la balourdise dont témoignait cette pitoyable païenne…

D’un mouvement rapide et précis, la lame du compte Despotisme vint trancher la gorge de cette misérable furieuse, laissant jaïre un déluge de sang, avant que la tête de celle-ci ne roule vulgairement contre le sol froid et poussiéreux de la pièce. Les larmes de pleure s’arrêtèrent pour laisser les larmes de chaque veines s‘écouler contre le sol. Le regard impassible, Butcher ce jubilait silencieusement de cette déchéance humaine qu’il venait d’irradier, les mutineries allaient maintenant cesser, le peuple allaient retrouver sa jovialité.

Le compte Despotisme s’approcha lentement du corps divisé, il rangea élégamment son épée avant de dire ces quelque mots :

- Misérable pubère, l’arrogance a eu ta peau.

Puis il attrapa la tête tranchée avant de l’envoyer négligemment au fond de son sac, ce soir elle sera plantée sur un piquet au milieu du royaume, pour que chaque citoyen puisse admirer l’expression de cette misérable tête cadavérique.

je resusite lé mor avec le pouvoir de mon flow, et je sove la donzel, on fight les con et on v se refugier dans le foret

"Orgazmo, Orgazmo !!", rugit Alan Shore. "Qui peut porter un nom aussi stupide ? Retrouvez-le moi, où que cet inverti puisse se cacher". Butcher qui n'était pas un tendre se promettait déjà de lui faire subir les derniers outrages. "Un bon fer rougit, au feu, au fond de son petit cul devrait le faire débander pour sûr", se dit-il sournoisement. "Il va chanter le bougre, drôlement bien chanter".

Butcher, l'infâme, entrainant sa troupe malfaisante, se dirigea vers la forêt.

Nouménie la survivante, retourne dans sa petite vallée avec son preux Dime pour festoyer gaiement...