La peine de mort

La justice et la civilisation doivent être au-dessus de nos bas instinct d'hommes.
C'est pour ça que nous les avons créées, pour nous entre-réguler.

L'abolition de la peine de mort rend la vengeance personnelle criminelle. C'est normal, sinon on vivrait dans un monde encore plus barbare qu'il ne l'est aujourd'hui.

Il faut se détacher de ses pulsions personnelles quand on aborde ce sujet. Sinon, on tombe dans une totale décadence.

yop! a écrit:

La justice et la civilisation doivent être au-dessus de nos bas instinct d'hommes.
C'est pour ça que nous les avons créées, pour nous entre-réguler.

L'abolition de la peine de mort rend la vengeance personnelle criminelle. C'est normal, sinon on vivrait dans un monde encore plus barbare qu'il ne l'est aujourd'hui.

Il faut se détacher de ses pulsions personnelles quand on aborde ce sujet. Sinon, on tombe dans une totale décadence.

As tu déjà connu le malheurs?

Je ne parle pas de ne pas respecter la lois, ou de garder et écouter ses instincts primaires.

Mais c'est dans la nature de l'homme .

"A chasser le naturel, il revient au galop".

La peine de mort est une justice pour le condamné.

Il a pris une, la sienne est prise par la justice.

Mais dans les rêgles...

Greg67 > On parle de si oui ou non on est pour la peine de mort, pas de si oui ou non nous avons un jour désiré la mort de quelqu’un pour de quelconques raisons, il y a une différence entre les deux.

Par rapport au system, a notre époque, aux lois, aux mentalités d’aujourd’hui (etc…) je suis contre la peine de mort, je suis contre le fait d’accepter une loi qui autoriserait l’exécution d’une personne suite a un jugement, un jugement humain que je qualifierait de limité, limité car nous ne pouvons pas tout savoir, et donc d’une certaine manière nous pouvons commettre des erreurs technique, d‘interprétation, de jugement, etc... Le mieux serait encore que personne ne juge personne, mais c’est bien évidemment impossible, nous somme humain, et parfois dans certaines situations, la haine, l’intolérance, nous dépasse. Mais c’est aussi parce que nous sommes humains que nous avons une conscience, et que donc, il est de notre devoir d’être raisonnable au mieux, si je puis dire.

Nous somme dans un monde bien assez barbare comme ça, évitons donc au mieux de nous laisser dépasser par certains sentiments, et donc, soyons contre la peine de mort, il y a la prison, c’est mieux que rien (si on en suit mon raisonnement, même la prison ne devrait pas exister, mais il est évident que les choses nous oblige a agir de certaines façons pour garder une certaine sécurité dans la société, mais rien ne oblige encore à tolérer la peine de mort ou a exécuter quelqu’un, si ce n‘est notre propre colère, colère engendré par un événement, événement qui ne nous permet pas de rester fair play dans notre jugement ) Donc bien sur tout ceci n’empêche pas le fait que moi-même dans certains cas, dépassé par les événements, je souhaite la mort de quelqu’un, mais je ne suis pas pour autant pour la peine de mort.

@Greg 67 : Justement, mon cas personnel n'a pas à se faire prévaloir dans une réflexion sur la peine de mort.

Bien sûr que j'ai déjà eu envie de tuer, bien sûr que j'ai frappé et nul doute que je pourrais passer aux actes si quelqu'un tuait mes proches. Ca n'est en rien légitime.
La société peut comprendre le geste, elle doit aussi le punir.

La Justice se réfléchit à froid, sans passion. C'est pourquoi je suis contre la peine de mort, surtout quand j'entend : "Il a pris une vie alors prenons la sienne !" Et qui pour prendre les nôtres ? Ses descendants auront alors toute légitimité de nous juger comme nous avons juger leur père. Et c'est la que la justice ne serait plus crédible.

C'est en ça que la peine de mort serait une aberration dans notre système. On retomberait des milliers d'années en arrière !

la peine de mort est une solution superficielle et inneficace, je trouve trop facile qu'un meurtrier s'en sorte de telle sorte.
de plus je ne vois pas pourquoi il serait criminel de prendre la vie d'autruit, le plus souventdans des circonstances troubles et sur un coup de sang, alors qu'il serait des plus legales de prendre la vie du criminel de sans froid.